2012

français

continuité de la série dos anonymes

J'ai senti le besoin de pousser la série précédente plus loin, et d'aller étudier directement le portrait. Car la relation au sujet est bien plus directe, l'anonymat est different. Les formes et la variété d'expressions sont beaucoup plus ouvertes. J'ai fait cette série car elle ramène à cette idée du corps comme son propre masque. Et la relation à la photo est alors bien plus forte, la plus-part des poses sont en effet des réactions à l'acte de photogrpahie, alors que les dos anonymes sont beaucoup plus passifs.